1 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
1 s, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer, ou bien ne signifie
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Deuxième lettre aux députés européens (16 août 1950)
2 que vous n’êtes plus nécessaires. Mais cessez de faire semblant d’être là. Constater le néant représente un progrès sur l’entretien d
3 1950, Combat, articles (1946–1950). Messieurs, n’oubliez pas l’exemple de la Suisse (3 octobre 1950)
3 , Vous êtes ici pour faire l’Europe, et nous pour faire semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer, ou bien ne signifie
4 1950, Lettres aux députés européens. Première lettre
4 s, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer, ou bien ne signifie
5 1950, Lettres aux députés européens. Deuxième lettre
5 a que vous n’êtes plus nécessaires. Mais assez de faire semblant d’être là. Constater le néant représente un progrès sur l’entretien d
6 1972, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). « Le respect du réel, c’est le revers du paradoxe » (14 décembre 1972)
6 te, pendant deux ans, à l’école primaire, j’ai dû faire semblant de ne pas savoir. C’est bien pourquoi mon premier essai a pour titre 
7 1974, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). La révolte des régions : l’État-nation contre l’Europe (mars 1974)
7 oir aujourd’hui proclament qu’il faut la faire et font semblant de la vouloir, parce qu’ils savent bien que c’est impossible sur les
8 1985, Cadmos, articles (1978–1986). Trente-cinq ans d’attentes déçues, mais d’espoir invaincu : le Conseil de l’Europe (été 1985)
8 s, Vous êtes ici pour faire l’Europe, et non pour faire semblant de la faire. Faire l’Europe signifie la fédérer, ou bien ne signifie
9 1988, Inédits (extraits de cours). « L’heure est venue. Allons-y » [préface d’Alexandre Marc]
9 e chantre de la diversité libératrice, pouvait-il faire semblant d’ignorer que l’Europe, sans qu’elle le mérite, reste aujourd’hui, po